Beretta, c'est un joli nom de Pierre Gagnon

Publié le par Val

Beretta, c'est un joli nom de Pierre Gagnon

Bon... je sais pas trop où me située par rapport à ce livre là. Premièrement, je l'ai choisi pour sa couverture. Avouez qu'elle est vraiment belle la couverture. J'ai tout de suite été curieuse, je voulais connaître l'histoire derrière ce titre, cette voiture.

Je ne connaissais pas pantoute l'auteur, Pierre Gagnon. Son style d'écriture est vraiment intéressant. Je relirais un de ses livres volontiers.

Je suis par contre un peu perplexe sur l'impression que m'a laissé ce roman là. Ça doit être une bonne chose, quand on sait pas trop quoi en penser. Je me dis que je ne suis pas indifférente, et des fois c'est une bonne chose que d'être perdue à la fin d'un livre.

Beretta, c'est pas un nom propre, je vous le dis tout de suite. C'est le nom d'un fusil. Ouais. On suit Rose, une jeune fille qui s'enfuit de chez elle avec un certain Fuentes, qui lui promet qu'il peut l'aider à retrouver sa mère. Il y a toute sorte de choses là dedans. Rose vit sur une ferme avec son père, elle a comme animal de compagnie une truie qu'elle appelle le petit, elle a une amie, Cindy, avec qui elle a déjà fugué à quelques reprises, Fuentes est bizarre aussi, il a une chambre avec une caméra (on se doute bien de ce qu'il peut réaliser avec cette caméra là)

C'est un livre sur la délinquance juvénile, voulue ou non. Mais c'est vraiment bien écrit, ce qui fait que c'est pas lourd comme lecture. En fait, on s'en va dans cette direction là sans jamais vraiment s'en apercevoir.

Ça se lit d'une traite, c'est beau sans l'être, c'est bizarre tout en étant vrai...

Publié dans Romans québécois

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